LE TRAVAIL

 

LE TRAVAIL

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 qui as dit le travail c'est la santé ,

Henri Salvadore dans une de ses chansons , bien-sur

comme il avait raison ,c'est lorsque l'on ne travaille plus ,

donc en retraite ,et surtout sue l'on prend de l'âge ,

que nous nus apercevons que c'est vrai ;

et la tristesse viens au fils des ans avec l'ennuie ,

nous avons l'impression de ne plus rien attendre de la vie,

toute ces joies qui faisait notre vie , et nos colère aussi ,

il faut bien reconnaitre que tout n'est pas rose ,lorsque l'on travaille,

et pourtant ,

lorsque je travaillais j'avais beaucoup de mauvais moment ,

c'était un travail assez dur, fatiguant , mais il donnais aussi

des bons moment ,

en fait lorsque je me souviens ,de ces moments la ,c'est toujours des bons;

pourquoi ne penser qu'au mauvais, il faut toujours garder le bon côté des choses

pour pouvoir ,bien rire de tous ces souvenirs,

il fallait ce lever de bonne heure , et courir ,

déjeuner en vitesse , faire sa toilette , et ce rendre sur son lieu de travail,

la journée commençais fort ,grrrrrrrrrrr

la il fallait se changer, une petite tasse de café ,

et se rendre à l'emplacement de la machine ,

et la !les choses sérieuse commençais ,

c'est un peu dur de travailler à la production , il faut en faire vraiment

beaucoup si l'on veut gagné sa journée, et le poids à porter ,

je travaillais dans la métallurgie , c'est à dire :

boulons  :filetage ,selon la grosseur du boulons ,il en fallait , grrrrrrrrrr

combien ? les petits se comptais par mille , plus ils étaient gros ,moins il en fallait,

normal ,le prix était plus élevé , mais il ne fallait pas dormir sur sa machine ,

sinon à la fin de la journée , pas gagné beaucoup ,

donc allé il faut foncer , et faire attention à ne pas abimer la bécane (machine)

écrous,c'est pareil il faut les fileter ,ça j'aimais pas , les mains dans l'eau qui

sentais vraiment mauvais ,une odeur d'huile chaude grrrrrrrrrr

et pareil il en fallait pour gagner sa journée,

perçage de pièces , ça j'aimais bien , mais toujours le même système ,

donc :il y avait différente pièce à percer,

des boulons , un petit trou au bout ,pour mettre une goupille ,

j'adorais ça ,

des coins : un peu plus compliqué à expliquer,et à comprendre ,pour les personnes

qui ne connaissent pas,

il y avait aussi des plaques , pareil un peu compliqué , cela servait à mettre

dans les mines ,pour tançoner  (un mot pour dire tenir, ) le plafond des mines,

et les tiges de mines , ou tiges de soutellement , la ce n'était pas de la rigolade,

il en fallait de 1600 à 1800 par jour , pas mal ,

il y en avait de différente longueur , les mieux c'était 1m80 en 20mn

de diamètre , cool j'adorais ça ,

nous formions une équipe de trois :

une fileteuse, une rouleuse , et un botteleur ,

nous en faisions 2000 par jour ,car il fallait penser aux pannes,qui arrivaient

assez souvent , et au nettoyage du vendredi  après-midi ,

et marquer de la régie ( c'est à dire ,du temps d'attente ,donc sans rien faire )

ce n'était pas notre truc ) ,donc il nous fallait de l'avance ,

et le vendredi après-midi c'était cool ,

à oui la chose la plus intéressante dans tout ça ? c'était le salaire ,

très dur comme travail ,mais bien payé , nous gagnons deux fois le SMIG

ce qui ma valut bien des disputes avec mon mari , car je gagnais

pareil que lui , qui étais classé P3 ,

à la grande différence aussi , que moi je n'avais pas le temps de dormis sur

ma machine , il fallait faire la production ,

Mais c'était un travail que j'aimais beaucoup ,

faire ce que l'on aime c'est déjà beaucoup ,même si il y a des mauvais

moments , comme je disais ,

la paye guéri ces dur moments ,

 



21/04/2013
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